17 ans
Adolescente en difficulté
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(à préciser)

Jihanne est celle qui a accueilli Laurann au centre, pour le moment se fut leur première rencontre mais Laurann l'aime bien.

Texte à venir

Thierry représente beaucoup pour Laurann, elle se sent particulièrement chanceuse de l'avoir pour référent. Elle ressent une vraie confiance à l'égard de l'éducateur, il connaît les bons mots, fait les bons gestes et n'hésite pas à intervenir quand Laurann est en mauvaise posture. La jeune fille a été profondément attristée par les malheurs de l'homme et se préoccupe de ses trop fréquentes blessures, d'ailleurs elle n'a pas hésité à faire preuve de "force" pour le "défendre".

Malgré son angoisse pour la première visite médicale, elle a été rassuré par la prévenance du docteur Never qu'elle trouve très sympathique.

C'est à la piscine que Laurann à rencontré Rivaul, au début la jeune fille l'avait pris pour un autre adolescent, elle fut bien gêner de son erreur. Elle ne lui à donc parlé qu'une fois, Laurann a pourtant jugé qu'il était très sympathique chose étrange à ses yeux pour un directeur!

Ennemie, qui aurait cru que la douce et la calme Laurann aurait pu avoir une ennemie? Et pas une comme les autres, non, une coriace, qui sait frapper où ça fait mal, moralement et physiquement. Une jeune fille qui a réussi à faire perdre le contrôle à Laurann, une première ici au centre.
C'est certain, Angèle est douée dans le rôle du persécuteur. Depuis leur première rencontre, un étrange lien victime/tortionnaire uni les deux jeunes filles.

C'est lors d'une escapade hors du centre que Laurann a rejoint la frêle Lyhann, elle l'a tout de suite apprécié, sa fragilité, son besoin de solitude, dans un sens elle lui ressemble tout en étant différente.

Omitto iuris dictionem in libera civitate contra leges senatusque consulta; caedes relinquo; libidines praetereo, quarum acerbissimum extat indicium et ad insignem memoriam turpitudinis et paene ad iustum odium imperii nostri, quod constat nobilissimas virgines se in puteos abiecisse et morte voluntaria necessariam turpitudinem depulisse. Nec haec idcirco omitto, quod non gravissima sint, sed.

Omitto iuris dictionem in libera civitate contra leges senatusque consulta; caedes relinquo; libidines praetereo, quarum acerbissimum extat indicium et ad insignem memoriam turpitudinis et paene ad iustum odium imperii nostri, quod constat nobilissimas virgines se in puteos abiecisse et morte voluntaria necessariam turpitudinem depulisse. Nec haec idcirco omitto, quod non gravissima sint, sed.